
Définitivement, il faut réussir un macaron au moins une fois, et absolument avant 2013 !
Remonté à bloc, je pris la maryse, le tamis, le cul-de-poule, et les ingrédients nécessaires, sur un plan de travail propre (toujours!).
Première décision (suite aux précédents échecs): réduire par deux les proportions de la recette.
Deuxième décision: continuer avec une meringue à l'italienne, car j'adore la préparation de la cuisson du sucre, à l'aide de mon thermomètre à sucre (tout neuf)!
Résultat: le croûtage, magnifique pour mon niveau de débutant. Le goût? L'entourage dont je pense qu'il est un peu en ma faveur (bizarre ;)) indiqua que ce sont parmi les meilleurs macarons au chocolat jamais mangés (vraiment bizarre).

L'année se termine bien; le sentiment du travail accompli!